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la Jumellière
Pour ceux qui auraient un coup de pompe, après ces fêtes de fin d'année...
Bourgneuf en Mauges
BONNE et HEUREUSE
ANNEE 2012
à TOUTES ET TOUS
Sur les bords de la Moine, le Moulin de la Cour
Monument à trois arches en meulière de granit (XVème), arcs brisés avec brise-lames sur la face en amont. C'était le passage obligé jusqu'en 1850, date de réalisation du Pont neuf.
le Vieux pont la Moine
Sur les pas du R.P de Montfort
"Le choeur est du XII-XIIIème. La chapelle est dédiée à la Madeleine et faisait partie des dépendances du prieuré de St Laurent des Gâts de La Romagne. Les dimensions actuelles datent de la grande mission de 1713 par le Père Grignion de Montfort. Elle abrite Notre-Dame de Toute Patience, statue de la vierge en poirier qui aurait été sculptée par le Père de Montfort."
Grignon de Montfort
Crucifix du Christ roi
N.D des Trois Avé Maria
3 randonnées possibles
Eglise Notre-Dame de l'Assomption
Elle a été bâti à l'emplacement de l'église primitive du XIème, ancienne dépendance de l'Abbaye de St Michel-en-l'Herm.
L'édifice a été entièrement reconstruit pour sa partie ancienne, sous la Renaissance par Charles Du Plessis et Louise de Montfaucon-Saint-Mesmin. Leurs blasons se trouvent en de nombreux endroits de l'édifice. L'église a été agrandie et surélevée vers l'Est, entre 1858 et 1860.
NOËL
la crèche
Points remarquables dans l'église : les voûtes sculptées de la nef sud, de la nef centrale et les vitraux contemporains dont les thèmes sont pour partie, les Guerres de Vendée, et pour partie, la vie du Père de Montfort qui est venu à La Séguinière en 1713 et 1715.
Pére de Montfort
Arrivée du R.P de Montfort
Bonchamp mourant fait grâce aux prisonniers
Entre le fils et la mère, je ne crains rien
Croix de Lescure, le Tremblay 1794
Champs des Martyrs, Avrillé
Martyre de Marguerite Durand, Marie Blednoir, René Guignard
de la Séguinière
et de
Catherine et Marie Louise de la Sorinière
du Longeron.
La Séguinière conserve en partie son église des XVème et XVIème siècles agrandie en 1858.
Son décor verrier, exclusivement consacré aux guerre de Vendée, est l'œuvre du maître-verrier angevin Bordereau qui le réalise entre 1954 et 1957 à la demande du curé de l'époque, l'abbé
Chauveau, qui y consacra une partie de sa fortune personnelle et fit appel à ses paroissiens pour compléter les vitraux manquants.
C'est ainsi que les ouvriers d'une usine de chaussures du village offrirent "La Messe du Moulinard", les déportés de guerre "Le Passage de la Loire de Bonchamps" les habitants
du hameau de la Brunière se cotisèrent pour donner "le vitrail de Ripoche".
Quatorze verrières furent réalisées en deux ans.
suite de la visite du village dans le prochain article....
..... ou presque.
Toute la presse en parle.
articles du Courrier de L'Ouest
Réalisé par 5 Trélazéens, guidés par un plasticien Jean Grégoire
Il a retrouvé "Enous et ses enfants"
et peut maintenant, veiller sur la patinoire.
"Aux Anciens Commerces"
Depuis 1992, le musée a investi les anciennes écuries du baron Foullon.
Sur deux étages, une vingtaines de petites boutiques de la régions ont été recréées.
Derrière les façades d'époque, on retrouve les produits, comptoires, étagéres et les réclames d'origine.
Ce musée retrace l'histoire des petits commerces de détail entre 1850 et 1950.
Près de l'église de Faveraye, le cimetière médiéval conserve de belles pierres tombales, vestiges très anciens de chevaliers ou de puissant personnages.
Certaines tombes portent les ornementations des artisans qui peuplaient le village.
L’EGLISE DE MÂCHELLES
L’implantation d’une église au centre du village de Mâchelles a été décidé le 2 août 1791, par les responsables du Directoire de Vihiers, pour mettre fin aux querelles des habitants de Faveraye et de Mâchelles.
Le 13 mars 1851, l'église construite d'après les plans de M.Chesneau, par l'architecte Pierre Tendron, ouvre ses portes.
Elle fut construite grâce à l’appui financier de huit familles et principalement des demoiselles Boyleau propriétaires du château de Chandoiseau.
Une énigme
Il semble que ces trois marches servaient aux dames qui venaient à l'église, pour monter et descendre de leurs chevaux.
Mais je n'ai aucune certitude sur cette explication.
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L'EGLISE DE FAVERAYE
L’église Saint Pierre aux Liens de Faveraye est devenue simple chapelle par ordonnance du 6 mars 1851.
Inutilisée durant 45 ans, l'église s'est dégradée, une partie de la nef est détruite.
Mr Maurice de Soland, demeurant au château de Chandoiseau, propose de prendre en charge les travaux de restauration.
Elle devient la chapelle St Louis.
Le lavoir de Machelles
Sur les bords de la Maine, à Angers.
la maison du constructeur de bateaux Duchesne.
Côté rue Haute de Reculée
Côté Promenade de Reculée
