Situé à l’intersection des rues de la Croix-Nivert et des Frères Morane,
Paris XVéme.
Ce trompe l'oeil a été réalisé, en 1996, par Ph. de Lanouvelle et B. de Renty.
Il représente des figurines d’animaux exposés dans une vitrine.
Situé à l’intersection des rues de la Croix-Nivert et des Frères Morane,
Paris XVéme.
Ce trompe l'oeil a été réalisé, en 1996, par Ph. de Lanouvelle et B. de Renty.
Il représente des figurines d’animaux exposés dans une vitrine.
.....Au Jardin des Plantes de Nantes.
et quelques vues du jardin
"Le premier miroir "de Camille Alaphilippe
La Fléche
Eglise Saint Thomas
Courtillers
Eglise Saint Jean Baptiste
Je ne suis pas un spécialiste de Jeanne d'Arc
(sous réserve)
Luché Pringé
Eglise Saint Martin
Mayet
Eglise Saint Martin
Précigné
Eglise Saint Pierre
Sablé sur Sarthe
Tableau : le martyre de Jeanne d'Arc
Eglise Notre-Dame
Le Mans
On n'a pas accés aux vitraux, il y a une grille qui ferme la chapelle latèrale.
Dans une rue du vieux Mans
rue Saint-Pavin
un jardin privé
inscription "Pro Patria"
Est-ce une Jehanne?
Le jour se léve sur la Ferme d'Orgéres
L'église Saint Georges
Merci à Bernadette et Emmanuelle pour cette belle journée, dans l'Orne.
Heureux d'avoir mis des visages sur les pseudos.
Une journée bien courte, mais pleine de sympathie qui a effacé la fatigue du voyage.
Bonne continuation à toutes et tous sur P.P.com
et à l'année prochaine pour une nouvelle rencontre.
Eglise Sainte Croix
Ancienne Epicerie Lalouette (avant 1910)
Mur des Echevins
rue de la Juiverie
A/O
(qui signifierait A super O, un rébus pour dire A supero),
QUŒRENDA EST.
"auprès de Dieu il faut chercher la vérité" ou "auprès de Dieu il faut se plaindre".
Expecto donec veniat
"j'attends qu'il ou elle vienne".
Gisant de François II de Bretagne et Marguerite de Foix
Cathédrale Saint Pierre
un pavé insolite
place de l'Ecluse
ancienne numérotation de la rue
presbytère Saint Nicolas
rue Affre
rue Bossuet
je vous laisse deviner le nom de la rue.
Paul Ladmirault
rue Malherbes
"Vers l'infini"
de Blanche Moria, 1928
Cimetière de la Bouteillerie
?
maison musée des Compagnons du Devoir
Voilà qui termine cette journée à Nantes
Je mettrais peut-être d'autres photos prisent en 2007, sur les jardins et les sculptures.
Eglise Saint Similien
Saint Similien était le 3éme évêque de Nantes, mort en 380.
Eglise Saint Similien fut d'abord un oratoire bâti sur le tombeau du saint, avant de devenir une basilique mérovingienne.
bas relief, rue du Trépied
"Sphérique" de Jean Pierre Choveau
place du Martray
armoiries
place Royale
La fontaine de Nantes est du sculpteur Ducommun de Locle. Elle a été érigée en 1865.
Les statues de bronze représentent la Loire, l'Erdre, la Sèvre nantaise, le Cher et le Loiret.
Les génies rappelant le rôle industriel et commercial de la ville.
Ce luxueux passage couvert a été réalisé par
Louis Pommeraye un bourgeois nantais associé à Charles Guillou.
Le passage ouvrira ses portes au public le 4 juillet 1843.
Maison des apothicaires
rue des Carmes
les enfants nantais
Donatien et Rogatien
le rat goutteux
Electricité
Antiquités
après le rat, les souris
rue Kervégan
le Cinématographe
Place Ferdinand Soil
Commandé par la ville pour embellir la place.
Créé par l'école Murs Dec', en 2006.
ce trompe l'oeil fait 66m²
méme les boitiers EDF ont été peints, pour qu'ils s'intégrent dans le décors.
Rue de l'Echelle
cette fresque murale "Jules Verne" de 14m x 12m, orne le mur d’un immeuble de la rue de l’échelle.
elle a été peinte par Jean-Yves Jodeau.
Square Fanny Percot
"Le toucan à bec canelé"
d'Alain Thomas
rue Scribe
Trompe l'oeil qui n'existe plus.
Fresque des Acadiens
rue de la
Bleterie
l'Hôtel Garreau
de style néo classique a été bâti en 1845,
situé à l'angle de la rue Dobrée et de la rue Damrémont.
Jean Pierre Garreau a fait fortune en construisant les demeures de la bourgeoisie nantaise au début du XIXe siècle.
Il a fait appel à l'architecte Joseph Fleury Chenantais, pour la construction de son hôtel.
L'hôtel est orné de bas-reliefs, dont un représente la basilique Saint Pierre de Rome et l'autre le Colisée.
le musée Dobrée
Manoir de la Touche
Construit vers 1425 -1440 par l'évêque Jean de Malestroit .
Le tribunal suprême de l' évêque de Nantes y siéga en 1440
pour le procès de Gilles de Rais , compagnon de guerre de Jeanne d' Arc.
Le duc de Bretagne Jean V, y séjourna plusieurs fois.
C'est dans ce manoir qu'il décédera, le 29 août 1442.
Pendant les guerres de religion, le manoir est transformé en hôpital pour les protestants. Puis il devient la maison de convalescence de l'hôpital du Sanitat, lors de l'épidémie de peste.
De 1695 à 1793, il prend le nom de " domaine des Irlandais " et devient une résidence pour les prêtres irlandais, réfugiés à Nantes. Bien que très appréciés et intégrés à la population nantaise, ils seront expulsés en avril 1793.
Le manoir servira alors d'hôpital militaire.
Une partie de la propriété sera finalement vendue à Thomas Dobrée, en 1862.
rue Montesquieu
rue Dugommier
rue de la Fayette
l'ancien Palais de Justice.
Temple
Cette sculpture de Patrick Corillon, est située place Ste Elizabeth.
Elle représente une plante imaginaire qui semble se développer autour d'un banc et d'un panneau d'affichage.
Notre Dame de Bon Port
dite église Saint-Louis,
en référence du nom du maire de Nantes, qui a participé financièrement à sa construction.
Elle a été construite en 1852, par les architectes Joseph Fleury Chenantais et Saint-Félix Seheult
le dôme inspiré de celui de l'église des Invalides à Paris,
est surmonté d'une lanterne et d'une fléche.
La croix culmine à 60 mètres.
L'église est dédiée à la Vierge Marie
(protectrice des marins).
Le fronton, oeuvre d'Amédée Ménard en 1858,
représente la Vierge en gloire, assistée de deux anges.
Le premier bénit les marins qui partent.
Le second accueille les marins de retour.
Le tympan est de Joseph Gouëzou, il date de 1860.
Il représente le Christ consolateur.
Au dessus de la porte
Saint Louis et Marguerite de Provence
Notre Dame de Bon Port
Les peintures murales ne seront achevées qu'au début du XXe siècle.
Celle de Alphonse Le Hénaff ont été réalisées entre 1858 et 1860.
Vitrail de François Denis
l'Ascension du Christ
L'orgue de l'église a été construit par Louis Desbierre, en 1891.
Il est composé de trois claviers manuels, un pédalier à l'allemande de 30 notes et 45 jeux .
Et 4000 tuyaux.
Sa transmission électrique fut l'une des premières en France.