Le Lancaster ED-337, abbatu par l'ennemi, explose en vol, le 28 juin 1943, tuant 6 aviateurs
Seul le sergent Sparks survivra et sera récupéré par la Résistance.
K.B Coulter
H.T Clark
G.W Fuller
K.W Gadsdon
K.D.S Mordecai
B.F Sinclair (pilote)
Per ardua ad astra
« À travers l'adversité, jusqu'aux étoiles ».
Fragment d'hélice du Lancaster ED-377
En face du monument
Ruines d'un moulin
Angrie
Eglise
Saint-Pierre
Construite de 1869 à 1891 à l'emplacement d'un édifice médiéval.
Eglise Saint Hilaire
oeuvre de Villers
N.D de la Salette
Mélanie Mathieu (ou Calvat) 15 ans et Maximin Giraud 11 ans
EGLISE de Saint Cyr et Sainte Judith.
Elle remplace l'église rasée en 1877. Elle est construite en tuffeau avec un clocher en ardoise.
De forme croix latine, elle posséde une voûte très haute et une nef entourée de bas côtés.
Les arcs boutants sont de style gothique très présent en Île de France.
Hommage au 3éme SAS
Dans la nuit du 17 au 18 juillet 1944, 59 hommes du 3éme SAS sont largués sur Somloire, à bord de sticks nommés "Jeanette".
C'est l'opération Dickens.
http://www.somloire.mairie49.fr/index.php?page=article&typer=3&limite=4
Brissarthe "Pont sur la Sarthe" se situe dans la partie orientale du segréen sur la rive droite de la Sarthe.
Eglise Notre-Dame
Elle a été construite en plusieurs étapes, à partir du 11e siècle, et successivement agrandie aux 12e, 15e et 17e siècles.
La façade est du XIIème siècle.
Elle est soutenue par quatre contreforts massifs.
Les teintes différentes des pierres nous indique qu’elles ne provenaient pas d'une unique carrière.
Des pierres provenant de sarcophages mérovingiens ont aussi été utilisé.
Le portail est à double rouleaux. Son arc de décharge est d’origine.
Le retable comporte un mélange de classique et de baroque.
Le tableau central du triptyque serait une copie d'une œuvre attribuée à Noël Coypel.
L’autel est dit de style tombeau.
On trouve les deux thèmes du blé et de la vigne.
La statue de Robert le Fort, l'ancêtre des capétiens a été réalisé par le sculpteur David d'Angers.
Réginon de Prüm relate la bataille de Brissarthe.
En septembre 866, des Bretons et des Normands commandés par Hasting, revenaient du pillage de la ville du Mans. Ils furent assailli par 800 guerriers francs postés en embuscade par le comte Robert le Fort, sur le seul passage sur la Sarthe.
Les survivants se réfugièrent dans une église en pierres située au milieu d'une villa.
Plus tard, profitant que les francs prenaient un peu de repos autour de la chapelle, les assiégés effectuèrent une sortie. Robert le Fort venu à la rescousse de ses guerriers, sans avoir remis sa broigne fut tué et sa dépouille déposée dans l'église.
Les francs abandonnèrent alors leur siège et laissèrent l'ennemi continuer son chemin.
La vie de Saint Léger
signée BLANC (Angers)
Pour le passage à l'an 2000, la ville de St-Léger des Bois a demandé à François Boissier,une sculpture.
François Boissier, né en 1930, dans une famille de menuisiers ébénistes a fait des études à l'école d'horlogerie de Besançon.
Sculpteur autodidacte, c'est à la retraite et après un stage auprès de Emmanuel Bourgeau, qu'il s'est consacré à cet art.
Il fait partie des sculpteurs du Verger des Sculpteurs à Bressuire et de l'atelier St-Cyprien.
"L'arbre en fée" orne un petit square de St-Léger des Bois.
St-Léger des Bois était un lieu de passage sur la route du sel, entre Rennes et Angers.
Un important relais dit "La Touche aux Ânes" accueillait les conducteurs qui s'y arrêtaient avec leurs ânes.
L'auberge était renommée, et Charles IX y trouva refuge, après s'être égaré au cours d'une partie de chasse, le 4 novembre 1565.
Il ne reste rien de l'auberge, sauf la petite chapelle (du même nom) à côté, construite en 1766 et restaurée en 1972. Elle abrite des voiles de mariée.
A la sortie du village, une grotte de Lourdes fait face aux vestiges d'un moulin cavier.
L'ancienne église datait de 1823 et 1844, en 1868 le Conseil de Fabrique décide la réalisation d'une nouvelle église. C'est l'architecte Alfred Tessier de Beaupréau qui en fera les plans.
Inaugurée le 19 septembre 1875, l'église a été construite avec des matériaux de la région.
Le granit de Bécon pour les socles, la pierre dure de Chauvigny pour les piles intérieures et les jambages des grandes portes, la pierre de tuffeau pour les fenêtres, voûtes, arcs, la flèche .
L'église est dédiée à saint Gervais et saint Protais
le clocher abrite 3 cloches
Marie-Françoise pour le fa.
Geneviève pour le sol,
Thérèse de l'Enfant Jésus pour le mi-bémol.
Le presbytère actuel a été construit selon les plans de l'architecte René Hodé en 1851.
Les dépendances sont ajoutées en 1867 d' après les plans de Louis Morier.
La maison Séjourné
(du nom du dernier propriétaire)
est située à l' angle des rues du Commerce et du 11 novembre.
Elle a été construite pour Joseph Citoleux, notaire, en 1851 selon les plans de l'architecte René Hodé.
Le Prieuré
Le Logis de la Lucière
La Chapelle de la Lucière
Le Four à Pain de la Lucière
La Cloche de la Cassinerie
La Pâqueraie
Le Bois Lozé
Le Bignon
D'autres petits patrimoines à voir lors d'un prochain passage
La Plaine est un petit village situé à l'extrémité des Mauges, aux confins du Saumurois.
Son nom proviendrait soit du mot palaine, employé autrefois dans le Saumurois "pour désigner les terrains vides et banaux".
soit du latin plana, au sens, le plus souvent, de plateau.
L'église dédiée à Saint-Gervais et Saint-Protais a été entièrement reconstruite en 1820-1822.
Chapelle Notre Dame de Pitié
La Chapelle Notre Dame de Pitié a été bâtie, en 1667 par une famille quilui a donné son nom "Chapelle des Michelets". Elle a été reconstruite en 1864, dans le style ogival avec choeur à pans coupés et clochetons.
Chapelle des Places
le lavoir
Il est situé à la sortie de la commune, rue de la Frairie, il a été construit en 1911.
Son bassin fait 14m sur 4m.
Il a été rénové en 1998.
A l'entrée le panneau indique qu'il est interdit de laver la laine et le fil.
Les traitements de la laine et du chanvre nécessitaient beaucoup d'eau. Certains étaient tenter d'utiliser les lavoirs.
Le lavage étant très polluant, les autorités municipales étaient parfois obligé d'interdire cette pratique, incompatible avec le lavage du linge.